Phalanger lémurien
Lemuroid Ringtail Possum – (Collett, 1884)
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Description |
Classification Règne : Animal Phylum : Chordés Subphylum : Vertébrés Classe : Mammifères Sous-Classe : Marsupiaux Ordre : Diprotodontia Sous-ordre : Phalangeriformes Super-famille : Petauroidae Famille : Pseudocheiridae Sous-famille : Hemibelideinae |
Description
| Poids | Mâle = 810 à 1060 g Femelle = 750 à 1140 g |
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| Taille | Longueur du corps = 30 à 38 cm Queue = 30 à 35 cm |
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| Caractéristiques | Couvert d’une longue fourrure, le corps est uniformément coloré : gris-brunâtre sur le dos, la tête et les épaules, avec un ventre jaunâtre. La queue est couverte par la même fourrure foncée, mais le bout est nu. Chaque patte avant se termine par 5 doigts indépendants avec un pouce allongé pour améliorer la préhension. Les ongles pointus sur l’extrémité de chaque doigt sont longs et incurvés, agissant comme un crochet. Sur les pattes arrières, les deuxième et troisième orteils sont soudés (syndactyle). L’élément le plus caractéristique de ce phalanger, et l’élément le plus employé par les chercheurs pour les identifier, est la couleur de l’éclat de leurs yeux qui est d’un jaune lumineux. Ils sont les seuls animaux dans le secteur a avoir cet éclat. Ils sont très caractéristiques en raison de l’association de différents éléments appartenant aux opossums, aux lémuriens et aux phalangers-volants. Les similitudes entre ce phalanger et les lémuriens se trouvent dans des caractéristiques faciales, notamment le museau court, les grands yeux bien en avant et de petites oreilles. En outre, la ressemblance avec les phalangers-volants résident dans des adaptations squelettiques et de musculature correspondant à un style de vie par sauts. Parfois, on dit qu’il représente une étape morphologique préliminaire du vol plané, car ils possèdent un bout de peau (« patagium ») sur le côté qui est d’environ 25 mm de large. | |||
| Dimorphisme sexuel | La femelle est plus grande | |||
| Adaptations particulières |
 Animal nocturne |
 Arboricole |
 Dimorphisme sexuel |
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Distribution et habitat
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Australie (NE Queensland) |
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| Habitat | Forêt tropicale à plus de 450 m d’altitude | |||
 Forêts sub/tropicales humides à feuilles caduques |
 Prairies, savanes et brousses sub/tropicales |
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Biologie
| Longévité | en milieu sauvage 4 ans |
en captivité 5 ans |
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| Reproduction | Intervalle une fois par an |
Saison vers fin juin-juillet |
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| Maturité sexuelle | Mâle 2 ans |
Femelle 2 ans |
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| Gestation | ? | |||
| Portée | Nombre de petits 1 |
Poids à la naissance ? g |
Sevrage 4 mois |
Indépendance 9 mois |
| Particularités |
 Investissement parental |
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| Stratégie de reproduction |
 Couple monogame |
 Vivipare |
 Altricial – Petits sans défense |
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| Prédateurs connus | python tapis (Morelia spilota) ninoxe rousse (Ninox rufa) |
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Écologie et Comportement
| Régime alimentaire | Le phalanger lémurien fourrage, en moyenne, à 16 m au-dessus du sol. Il est presque exclusivement folivore.
 Herbivore |
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Mode de vie
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Le phalanger lémurien est complètement nocturne. Fourrageant dans les arbres, les individus restent actifs jusqu’à l’aube. Pendant la journée, ils dorment dans le creux des arbres remplis de feuilles. | |||
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Structure sociale
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Le phalanger lémurien est relativement social. L’unité familiale de base est formée d’un mâle et d’une femelle adulte avec leur petit. Plusieurs familles peuvent se regrouper au cours de la recherche de nourriture. | |||
| Comportement |
 Social |
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| Communication |
 Acoustique |
 Chimique |
 Tactile |
 Visuelle |
| Stratégie de survie | ||||
Statuts
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Liste rouge IUCN des espèces menacées
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Commerce international  Annexes I, II et III |
Ø |
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Évolution de la population
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Ou voir cette espèce en France ?
Liste non exhaustive Si vous connaissez d’autres parcs animaliers français possédant cette espèce, merci de m’adresser un mail |
Ø |
Sous-espèces
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